Résolution 2023 : Quel type d’agence de com choisir ?

Avant de nous contacter, voici quelques éléments qui peuvent vous aider à nous choisir ou bien à vous orienter vers l’un de nos confrères. Voici un petit mémo sur les différents types d’agences publicitaires qui coexistent. Bien sûr, il est difficile d’être exhaustif, car c’est un secteur où le concept d’agence n’est pas encadré ou protégé (pas de barrière à l’entrée de la profession). En général, on distingue les types d’agences suivants :
– les agences classiques (agence globale)
– les agences digitales
– les agences de publicité (spécialisées dans les médias de masse)
– les agences de relations presse
– les agences d’événementiel…

Les agences globales proposent tous les services classiques de conseil stratégique, de source de créativité des messages et de suivi technique de production. Elles sont nées avec les médias classiques, notamment avec la presse écrite et se sont développée autour des autres moyens d’expression que sont la radio ou la télévision. Parmi leurs expertises se trouve la capacité à connaître les comportements et profils de cibles. Elles ont suent intégrer les spécificités des autres actions dites hors-média depuis plusieurs décennies (marketing direct, le marketing en ligne…). Elles offrent à leurs clients un service complet, avec du planning stratégique sans s’interdire des canaux de diffusion de vos messages et supports de tous types (dont « les dernières tendances »).

Les agences spécialisées dans le digital marketing sont en quelque sorte l’exact opposé des agences classiques généralistes. Elles sont très spécialisées et auront parfois des difficultés à intégrer votre démarche complémentaire dans votre stratégie globale de marque ou d’entreprise. On trouve par exemple des agences spécialisées dans le référencement de site internet, ou dans les médias sociaux et les plateformes de publicité et marketing en ligne, voir encore des agences dites de marketing de contenu avec les différentes variantes de tendances (storytelling, photobranding, placement produit). Malgré tout il y a de plus en plus d’agences spécialisées dans le numérique qui intègrent des compétences complémentaires afin de proposer des offres complètes (exemple le marketing direct via des solutions d’emailing…). En raison de la concurrence et de la jeunesse de ce marché au regard de l’offre des agences classiques, la spécialisation à outrance des agences permet de rendre accessible des prestations à toutes les tailles d’entreprises (ou presque). Effectivement, certains se spécialiseraient presque dans la clientèle des autoentrepreneurs à fable expérience d’achat de prestations de conseil et peuvent ainsi vendre facilement des opérations digitales qui peuvent paraître à forte rentabilité car à faible coût d’accès.

Les agences de publicité, comme leur nom l’indique, sont centrées sur les médias de masse (affichage, tv, cinéma, radio, presse…) et conseillent les entreprises sur des campagnes de médiaplanning. Ils sont vos spécialistes de la publicité avec la mise au point de stratégies d’ensemble associant plusieurs médias autour de votre ou vos objectifs de communication. Ces agences s’adressent à des clients dont le budget marketing et communication est déjà conséquent, bien qu’actuellement l’offre tarifaire des médias a moins de barrières à l’entrée.

Les agences de relations presse proposent à leurs clients d’être visibles dans les médias de masse sans pour autant acheter de l’espace publicitaire. Il s’agit de proposer des points de rencontre avec les journalistes et les inciter, en tant que cibles relais, de parler de la marque ou de l’entreprise.

Les agences d’événementiel, viennent du monde des relations publiques généralement et sont en mesure d’accompagner les entreprises à rassembler dans un lieu des publics cibles. Elles peuvent aussi être expertes dans la gestion d’opérations de sponsoring culturelle, sportifs, voire de mécénat. C’est pourquoi ce type d’agences représente un atout pour les entreprises qui ont besoin d’un soutien sur des opérations ponctuelles comme la célébration d’un anniversaire de marque, une opération de lancement d’un nouveau produit vers un réseau de distribution ou pour booster la notoriété en participant à un événement d’ampleur locale ou nationale.

Il reste donc bien d’autres spécialisations possibles, soit vers des groupes de cibles (les jeunes, les séniors, les actifs….) ou des techniques de communication (dont l’existence est récente ou au contraire très ancienne).

L'atelier cortical

Fin d’année, voeux : que faire ?

Pour toute marque, l’exercice incontournable des vœux de fin d’année relève désormais d’une posture complexe.

Choisir un mode de transmission des vœux

Le temps où une belle carte imprimée, avec pourquoi pas un message personnalisé par les commerciaux à destination des clients et ou des prospects permettait de faire du lien et/ou de répondre simplifiait le choix du canal. Un bon texte, un visuel ou une forme de carte classique ou original, une zone pour écrire à la main un petit mot en plus…. le tour était joué.

Puis l’internet est arrivé, avec son lot de messages plus ou moins animé a surgit. Le début des années 2000 et tout le monde s’y est mis, du particulier à l’entreprise…..

Alors que faire aujourd’hui pour que la fin d’année 2022 et le début de 2023 soient de véritables occasions de gestion d’opération de CRM, de courtoisie, de bonne éducation, et pour un message politiquement correct.
Ceux qui sont solidaires avec La Poste font le choix de nouveau de la carte diffusée par voie postale. Autant dire que c’est agir pour l’environnement écologique et social, car le facteur à l’obligation de faire sa tournée de distribution et c’est mieux qu’il délivre ces cartes aux destinataires. Cela maintient de l’emploi (dans les agences de com, chez les imprimeurs et papetiers et à La Poste).
Ceux qui voient dans le digital la solution de facilité. Un visuel et un article sur le site internet, des posts sur les réseaux sociaux avec une programmation à date, seront dans un tunnel du message pour tous, ce qui évite d’oublier un de nos contacts. Mais alors comment on optimise la base de contacts ? Pas grave, on est déjà dans une ère de la data, c’est à dire ce que l’homme ne voulait pas, redoutait : devenir un numéro, une référence dans le lot des 7 ou 8 milliards d’habitants de la planète.
Ceux qui misent tout sur l’intelligence artificielle… hum, faut-il avoir des pratiques sociales et sociologiques avec les machines et les algorithmes qui remplacent les tâches que les humains ne veulent plus avoir à traiter ? Dans cet exercice précis, l’intelligence humaine est malgré tout à privilégier puisque c’est pour se rassurer d’avoir vécue une révolution (un tour de planète) et de confirmer l’envie de faire une autre révolution (les 365 jours et quelques heures à venir) ensemble. Question en passant : en AI, la variable fidélité partagée est-elle admissible ?
Ceux qui le font en direct ou en condition de direct. Alors avec une réunion conviviale pour l’interne, une cérémonie de début d’année avec l’externe, ou encore un webinaire pour gérer à distance. Le support vidéo (avec scénario et montage de qualité) s’emploie de plus en plus pour sa multiplicité de canaux de diffusion et sa capacité à véhiculer le message de ce type d’exercice.

Que faire alors ?

En prenant le temps de l’analyse de ce que votre marque a fait ces dernières années, une juste proposition doit prendre en compte les aspects culturels et les aspects sociologiques de l’exercice et des attendus des différentes cibles visées. Ainsi une véritable stratégie permettra de rentabiliser l’investissement au service de la démonstration de l’intérêt porté à chacun.
En ce qui concerne L’atelier cortical, une des actions qui sera menée pour les vœux repose sur la création d’un site internet qui aura cette seule ambition : démontrer notre curiosité afin de toujours et encore progresser dans la relation et l’analyse.

Coût d’un prestataire B2B

Les tarifs pratiqués par les structures de conseil ou de création sont souvent décriés par les acheteurs…. ceux qui reçoivent et analysent les devis, ou les factures ! C’est pourquoi nous abordons aujourd’hui une petite réflexion analytique.

Le tarif moyen en France

Selon l’Insee qui analyse chaque année le coût moyen horaire du travail, dans le secteur de l’industrie, du BTP ou encore des services marchands tous secteurs confondus voici la réalité de 2021. Le coût horaire moyen dans les services marchands en France a été de 38,10 euros. Cela signifie que pour une journée de 7h travaillés, il est nécessaire pour une entreprise de facturer 266,70 euros par jour, pour un mois à 35h par semaine il faut que la personne est produite pour 5.334 euros de facturation. Bien évidemment c’est une moyenne en fonction des pratiques des différents marchés du monde des services, et du contexte comme les charges complémentaires liées à l’activité de la personne qui exerce un métier de service.
Pour illustrer le propos, L’atelier cortical intervient dans le monde de la création infographique. Un graphiste qui va travailler sur un projet a donc un prix de revient déterminé. La charge de travail va dépendre de la nature et de la complexité technique de la création et de l’usage de la création. Pour la création d’un emballage de type doypack alimentaire, il y a 2 faces à concevoir pour répartir les informations commerciales, techniques et légales. Pour bien comprendre la valeur de son travail il faut décortiquer les étapes et les imputations de charges obligatoires de la gestion du dossier.

La valeur du travail infographique : exemple !

Déjà le graphiste doit être formé et s’adapter en fonction des évolutions des pratiques du métier. Il n’est pas qu’un simple utilisateur de logiciels de PAO (Illustrator, Photoshop, Indesign…). Il doit disposer d’une culture visuelle, d’une culture économique et s’intéresser aux tendances comme aux grands courants de styles du passé ou encore à la sociologie des couleurs. S’il a quelques notions juridiques liées au packaging, aux lois environnementales et de la protections des consommateurs c’est presque parfait.

Pour prendre en main un dossier de packaging il va devoir faire quelques recherches (voir et analyser le style de plusieurs doypack dans différents secteurs) et faire quelques essais dans des gabarits (qu’il aura probablement dû créer) dans les dimensions du projet. Il va donc passer du temps après le briefing à cette phase préparatoire. Il aura passé du temps à recevoir les informations qu’il va devoir mettre en forme sur l’emballage (un nom de produit…un code barre….). Puis il va y avoir plusieurs phases d’aller-retour des maquettes entre ceux qui décident, ceux qui accompagnent le projet (le fabricant de l’emballage ou de la machine de conditionnement…), et on va vite arriver à quelques dizaines de versions de fichiers pour 1 seul document final. Effectivement pour démontrer la capacité créative et offrir du choix au commanditaire du projet, en première phase il y aura peut être 3 pistes de styles de maquettes, puis 2 seront poursuivi, et enfin 5 ou 6 versions de la maquette qui plait le plus (concept de style déclinable ou pas si évolution de gamme).

Une fois retenue, la maquette sera vérifiée juridiquement (a-t-on oublié une mention obligatoire, la loi a-t-elle changé en matière d’information du consommateur… ???). Quand le contenu est enfin considéré CONFORME le graphiste devra encore préparer une version EXE du fichier pour le transférer au fabricant de l’emballage, qui va retourner un BAT qu’il devra aussi vérifier car le graphiste est celui qui saura dire si rien n’a disparu entre ses fichiers et celui traité par le fabricant. Avant cela il devra vérifier avec la personne en charge de l’achat de production de l’emballage si les conditions techniques sont bien celles qu’il possède pour être capable de finaliser le fichier d’EXE14-ok.PDF. Et là parfois une surprise, l’emballage doit faire 6mm de plus ou de moins car personne n’avait pensé à vérifier les contraintes de la surface de soudure pour la fermeture du doypack une fois remplies. il y aura donc un fichier d’EXE15-final.PDF.

Il y a donc des échanges qui consomment du temps de travail du graphiste, car il n’est pas une machine de production, disons qu’il est plutôt une interface d’écoute, de conseil, et d’adaptation aux situations, donc un humain qui pense et qui n’est pas encore remplaçable par de l’IA. Comme tout humain il ne produit 100% de son temps de travail. Il doit prendre le temps de la création, dialoguer pour réviser ses pistes créatives, et surtout il peut contribuer au suivi commercial et technique, tâches pour lesquelles il n’est pas la personne en titre (le chargé de clientèle, le planneur stratégique, le consultant, le responsable de production ou encore un chef du trafic….). Il a besoin d’outils de travail, un bureau, un ordinateur assez puissant, les logiciels et des bibliothèques ressources à organiser (photothèque, logothèque, pictothèque…), un téléphone une connexion web, une machine à café ou une bouilloire, une imprimante…. sans oublier qu’il a besoin d’un salaire pour vivre. Quand le graphiste va chez un boulanger il ne lui dit pas « Je vous prends 1 pain aux graines. Si je le trouve bon je vous paierai demain, sinon j’irai acheter celui de votre confrère qui m’a déjà fait gouter un pain hier pas très bon mais avec un échantillon du votre il m’a dit qu’il saura en faire un meilleur et moins cher que vous« . Donc, pour que le graphiste puisse manger son pain quotidien il est souhaitable que les tarifs pratiqués permettent de ne pas travailler à perte. D’après certains calculs dans l’univers du graphisme on peut estimer que sur 1 mois de travail il faut facturer au moins 20 jours à 365 euros ce qui fait un prix de revient de 52 euros de l’heure par mois….

Comparaison avec le tarif moyen du plombier

Si vous avez un chantier à réaliser le tarif horaire d’un plombier varie de 40 à 70 euros de l’heure, ce qui n’est pas le tarif dépannage et urgence bien évidemment. Oui, l’habitude du secteur est de facturer plus une personne qui a un besoin immédiat. Dans la communication, tout est urgent, tout est sans délai, car ce sont les emplois de l’entreprise cliente qui sont l’enjeu. Effectivement si pas d’emballage, pas de produit à vendre, donc pas de chiffre d’affaires. Alors est-ce que dans le graphisme on a un algorithme spécifique qui ferait que plus on demande de faire vite, plus le coût sera réduit ? Il est vrai qu’avec un dossier bien préparé, le graphiste peut travailler très vite en suivant une charte graphique existante. Bref, on est plus dans de la création mais dans le l’exécution. Si le plombier est l’artisan de votre circuit d’eau de votre logement ou de vos locaux professionnels, le graphiste est l’artisan de la valorisation de vos messages légaux et commerciaux. Avec 1.000 euros vous avez le budget de 3 jours de travail d’un infographiste travaillant sur création+exécution. Avec ces 1.000 euros vous avez un budget de travail de 2 jours à 2,5 jours d’un plombier sur un chantier, 1 journée d’installation d’un équipement sanitaire.

La crainte derrière repose sur un imaginaire inconscient indiquant que le travail créatif « c’est financer une personne à s’amuser à brainstormer tout en buvant des expressos en musique installé dans des fauteuils moelleux ». Dans ce cas prévoyez de multiplier votre budget par 3 ou 5 ou 10 et pensez que les très bonnes idées des très bons créatifs n’ont pas de prix. Elles ont fait le succès de nombreuses marques à travers les époques et les pays. Les meilleurs plombiers travaillent-ils tous dans des centrales nucléaires, pour la marine ou encore l’aviation ?

Prestataire ou recrutement pour internaliser

Ce qui est intéressant est de voir que le recours au prestataire évite de faire grandir trop vite les charges d’une entreprise. Effectivement si l’on confie une tâche à une personne peu qualifiée sur cette tâche et va devoir compenser son manque d’expérience pour tenir les mêmes délais, car elle aura probablement d’autres priorités à gérer simultanément. Si vous confiez plusieurs fois par mois et à plusieurs prestataires externes des lots de taches, il faut peut-être commencer à réfléchir à intégrer la compétence en interne. Il est possible également de cumuler avec la logique du temps partagé (en interne une personne à 30 ou 50% de temps et des prestataires à l’année au lieu du ponctuel plus ou moins renouvelé).


Presse magazine & ciblage

Aujourd’hui tout le monde parle du digital pour cibler, influencer. Pour autant la presse magazine a toujours de beaux atouts dans une campagne publicitaire.

Le dynamisme des éditeurs de presse magazine

Si les grands groupes de presse ont déjà pris le virage de la diversification et maintiennent leurs étendards, soulignons que de nouvelles maisons d’édition apparaissent ainsi que de nouveaux titres. Pour exemple en ce début d’année, la création d’un nouveau trimestriel « Parcs & Loisirs Magazine« . Un constat simple, après une période post-covid les familles vont miser sur des séjours dans les parcs de loisirs et d’attraction. La rédaction du magazine va s’attacher à communiquer des bons plans des infos sur les coulisses des attractions et apporter des connaissances utiles aux parents, mais les annonceurs de ce secteur concurrentiel avec des acteurs internationaux comme locaux vont enfin pouvoir cibler des contacts motivés pour fréquenter leurs lieux de loisirs. L’éditeur a des ambitions élargies et propose un système de club à son lectorat et structure son contenu pour toucher les visiteurs potentiels ou habitués des « escapes games », parcs à thèmes (attractions, animaliers…). Le premier numéro du magazine arrive en kiosque fin mai.

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Progression de la pub digitale en France

Les chiffres 2021
Les résultats de la 27ème édition de l’Observatoire de l’e-pub, réalisée par le cabinet Oliver Wyman analyse l’évolution et la répartition du chiffre d’affaires de la publicité digitale en France (depuis 2009). L’année 2021 est marquée par le rebond de l’ensemble des leviers de la publicité digitale post-crise covid. La croissance globale entre 2020 et 2021 est de +24 % soit en valeur 7,7Mds €. Si l’on regarde la répartition des segments de l’offre, le Search est dynamisé de +28%, ce qui aujourd’hui représente 42% du marché soit en valeur 3 254 M€. Le Retail Search fait une forte poussée de +56%, ce qui représente ainsi quelque 12% du Search. En même temps, le Social croît de +22% sur 2021 avec une certaine stabilité en valeur avec 2 034 M€ pour représenter 26% des investissements.
Le Display, repart lui aussi avec une croissance de +31% (soit 1 501M€) après avoir subi plus fortement en n-1 les effets de la crise. En 2021, le Display c’est 20% du marché. Pour finir, l’Affiliation, l’Emailing et les Comparateurs, restent à un taux de croissance à un seul chiffre (8%), mais avaient mieux résisté en 2020. Ils représentent 12 % du marché avec 890 M€.


Décryptage
Dans la publicité digitale, l’offre est multiple et nombreuse. Si faire de la publicité dans les moteurs de recherches (Google…) permet de générer du flux vers vos espaces digitaux, investir dans la publicité des plateformes de vente en ligne (Amazon…) incite la clientèle à retenir vos produits dans leurs paniers. Pour autant vous ne pouvez pas tout miser sur les ventes pour construire ou maintenir une image forte et puissante. Il faut impliquer favorablement vos cibles autour des valeurs de votre marque, des réponses apportées par vos produits aux consommateurs. En cela les réseaux sociaux (Facebook…) sont autant vecteurs d’affects que de création de trafic vers vos espaces digitaux et vos prises de paroles. Le Display (l’affichage de vos messages publicitaires images, texte ou vidéos) est le choix au service de votre notoriété.

Vous aimeriez que l’on vous en dise un peu plus….. prenons rendez-vous !

Réveillez vos cibles !

En stratégie média il est important de bien connaître les habitudes et les comportements de personnes que l’on cible.
Aujourd’hui le média radio est très puissant sur le créneau horaire du « morning ». La tranche du 6h/9h permet d’atteindre une audience ciblée durant la routine du matin. Radio-réveil dans la chambre, radio de cuisine pendant le petit déjeuner ou dans la salle de bain, et il y a aussi l’audience de trajet domicile travail/écoles….

Alors pour bien commencer la première semaine de l’année 2022, nous vous invitons à prendre un café ou un thé en notre compagnie et discuter de vos objectifs pour cette nouvelle année calendaire. Nous pourrons ainsi, de façon conviviale et gourmande, voir comment L’atelier cortical peut vous accompagner sur le plan de la stratégie de communication.
Excellente année à toutes et à tous.

La stratégie, une affaire conclue ?

Lorsque France télévision décide de revoir sa grille des programmes de l’après-midi en 2017, on est loin d’imaginer l’ampleur du phénomène Affaire Conclue. Lancée en septembre, au vu de la progression d’audience de l’émission présentée par Sophie DAVANT, la chaine décide de programme une deuxième heure d’Affaire Conclue dès janvier 2018. Avec des chiffres de conquêtes d’audience dépassant les +100.000 téléspectateurs par mois l’émission, sur les deux créneaux horaires, lui permet d’atteindre le million dès février 2018. Le succès ne se dément pas dans les mois qui suivent et se maintient avec des audiences pouvant dépasser les 2 millions de téléspectateurs, ce qui a permis de décliner le concept avec des rendez-vous en dehors de la case « après-midi de semaine ». En 2017 les Parts d’audience (PDA) installée à 5% pour cette tranche horaire a bien évoluée pour atteindre des scores supérieurs à 20% grâce à un public fidèle que l’on estime à 2,3 millions de personnes qui sont également présentes sur des créneaux week-end ou prime time.

Causes & Conséquences

Les analystes peuvent donner plusieurs causes à un tel phénomène. La progression des brocantes et vide-greniers à travers la France depuis de nombreuses années qui donne envie d’en savoir plus pour dénicher des trésors au cours des week-ends. L’engouement pour l’objet qui a une âme au détriment de la surindustrialisation de l’objet que tout le monde possède et l’envie de se distinguer en démontrant un gout prononcé sur un style, un univers, un thème de passion… ou simplement la recherche de ce qui a marqué notre vie dans la petite enfance ou dans les relations avec son entourage.

Les phénomènes psychosociologiques représentent un terrain favorable aux planneurs stratégiques qui vont tenter de guider les marques pour cerner le comportement prédictif. Si on parle aujourd’hui d’Intelligence artificielle (IA), les phénomènes comportementaux et sociaux relèvent pour une grande partie de l’intuition. Mode, cycle de vie du gadget, tendance transitoire ou lourde… les prévisionnistes ont parfois eu de beaux succès, mais aussi de cuisants échecs. Nous, ce que l’on peut dire en matière de publicité, c’est qu’il faut observer ce qui se passe, faire les bons choix aux bons moments : ni trop tôt, ni trop tard. Fort heureusement, la palette des médias permet de choisir des supports adaptés tant en matière de fréquence que de transmission à des cibles plus ou moins large en fonction de vos objectifs de notoriété ou d’image.

Un café, un thé, une boisson fraîche ? Et si nous en parlions ensemble….

L’intelligence est collective !


Intervenir dans le conseil stratégique au service des organisations humaines c’est avoir, au-delà des bases solides et des mises à jour permanentes sur les savoirs opérationnels et prospectifs, l’humilité de la pratique de l’écoute active de tous.
Ici on vous écoute, on vous pose des questions, on veut toujours en savoir plus afin de comprendre comment et pourquoi. Les bonnes décisions comme les bonnes idées sont en nous tous. Il faut juste qu’ensemble, par nos efforts respectifs, nous donnions l’impulsion qui va faciliter leur émergence, faire surgir et apparaître les potentiels avec leur déploiement.

Voici quelques idées autour de la notion d’intelligence (pas encore artificielle) :
> une fonction mentale d’organisation du réel en pensées ;
> la capacité à traiter une information et un ensemble d’informations ;
> un ensemble de processus qui permettent de comprendre, d’apprendre et de s’adapter ;
> un sujet d’étude pour la psychologie, l’anthropologie, la sociologie, les neurosciences, la biologie, la génétique…

Plus de digital = plus de création publicitaire !

Le monde du digital est formidable. Avec quelques outils, accessible d’usage avec peu de formation dédiée, tout individu sur la planète peut devenir célèbre si tant est qu’il trouve quelques idées qui vont l’aider à se faire remarquer.
Combien sommes-nous ? Un peu plus de 8 milliards d’êtres humains. Combien sont des actifs ? Un peu moins de 6 milliards (estimation haute). Donc, si on mène un raisonnement, car il n’y a pas de recensement mondial du nombre d’entreprises avec la population active et le nombre moyen de personnes employées on pourrait trouver une estimation donnant un ordre de grandeur : environ 300 millions d’entreprises dans le monde.

Une personne active= 1 ordinateur

Parmi les ambitions de Bill Gates dans les années 1990, il y avait « que pour chaque personne active dans le monde, se trouve sur chaque bureau un ordinateur PC avec Windows©« . Bien, on sait aujourd’hui que ce sera plus un smartphone avec des applis qu’un PC. Et une même personnes a souvent plusieurs ordinateurs à sa disposition.
La propagation de l’usage des outils du digital provoque l’engouement pour les actions commerciales et de communication via les canaux du digital. Alors voici la prédiction pour les années à venir. Il faut plus de créatifs publicitaires pour donner la chance à chaque marque de disposer d’une notoriété respectable et ainsi construire une image cohérente.

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Le printemps du slogan !

Votre agence de communication vous a parlé qu’il serait bien de déterminer une based line, une signature à votre marque. Cela renforce le branding et son territoire lors de chaque campagne publicitaire.

Un peu d’histoire

Le marketing étant la science de l’action commerciale, il y a quelques dizaines d’années les publicitaires anglophones avaient pris l’habitude de proposer, pour clôturer une pub radio ou une annonce presse, de proposer une « based line » : ce que vous entendrez ou bien lirez en dernier dans l’annonce publicitaire. Pour autant les publicitaires de tous pays proposaient déjà ce que l’on appelle une accroche, un slogan, les quelques mots qui attirent votre attention au début d’une pub. Ainsi, lorsque toutes ces idées créatives se trouvent mixées et reprises pour être érigées en « règles de l’art publicitaire » il faut devenir catégorique dans les définitions des notions du marketing. Toutefois, il ne faut pas non plus écarter le monde « civil » et l’histoire des peuples. Car depuis des siècles, des familles de seigneurs, de dominants ont eu des devises. Les corporations professionnelles aussi, les régiments militaires également ont trouvé dans une plus ou moins courte phrase des mots qui stimulent, motivent et présentent leur état d’esprit.