Le printemps du slogan !

Votre agence de communication vous a parlé qu’il serait bien de déterminer une based line, une signature à votre marque. Cela renforce le branding et son territoire lors de chaque campagne publicitaire.

Un peu d’histoire

Le marketing étant la science de l’action commerciale, il y a quelques dizaines d’années les publicitaires anglophones avaient pris l’habitude de proposer, pour clôturer une pub radio ou une annonce presse, de proposer une “based line” : ce que vous entendrez ou bien lirez en dernier dans l’annonce publicitaire. Pour autant les publicitaires de tous pays proposaient déjà ce que l’on appelle une accroche, un slogan, les quelques mots qui attirent votre attention au début d’une pub. Ainsi, lorsque toutes ces idées créatives se trouvent mixées et reprises pour être érigées en “règles de l’art publicitaire” il faut devenir catégorique dans les définitions des notions du marketing. Toutefois, il ne faut pas non plus écarter le monde “civil” et l’histoire des peuples. Car depuis des siècles, des familles de seigneurs, de dominants ont eu des devises. Les corporations professionnelles aussi, les régiments militaires également ont trouvé dans une plus ou moins courte phrase des mots qui stimulent, motivent et présentent leur état d’esprit.


Créateur et révélateur de valeurs

Les organisations humaines, que ce soit entreprise, association, ONG, collectivité ou administration, sont toutes porteuses de valeurs. Notre mission, si vous décidez de nous la confier sera de faire le point que les valeurs actuelles (partagées, vécues, ressenties…transmises) afin d’imaginer comment les cultiver et les mettre en accord avec votre projet.

Le conseil en tant que révélateur de valeurs

La stratégie de communication repose sur la volonté de prendre en main et d’agir sur sa notoriété et son image de marque. Il s’avère que les managers ont souvent l’envie de copier des valeurs qui appartiennent à d’autres. Ces managers les perçoivent comme des modèles à suivre, utile à la construction d’une notoriété positive et véhiculant des valeurs de marque que leur entité pourra s’approprier. À cela, L’atelier cortical répond qu’il est plus souvent bénéfique de repartir d’une analyse des registres et niveaux de discours employés par l’entité considérée pour imaginer le champ des possibles des évolutions à envisager. Effectivement, dans toute entité des pépites existent et elles ne demandent qu’à être révéler à tous. Certains vous diront que cela relève du storytelling, voir de la culture de légendes au service d’une communication construite, alors que le travail de l’orpailleur est bien de trouver dans la mine, le gisement, les éléments de valeurs qui une fois traité, pourront propager la richesse de la culture interne qui se reflète à l’externe.


Quelques acronymes StratCom

Au détour d’un article de presse, d’une proposition commerciale faites par une agence de communication, vous lisez un acronyme. Mais au fait que se cache-t-il derrière ces quelques lettres ?

La liste ci-après n’est pas exhaustive, relève de plusieurs univers de la communication (publicitaire, digital, événementiel…) ou du marketing associé à la stratégie de communication.
Et si votre interrogation porte sur un acronyme non présent ci-dessous, ne pas hésiter à nous poser la question (cf formulaire de contact ou le livechat du site).


Θ AIDA : peut être l’un des plus anciens (daterait de la fin du XIXè siècle), cet acronyme est une solution mnémotechnique pour se souvenir de 4 phases Attention Intérêt Désir Achat. Déjà employé par les précurseurs de la distribution dans les grands magasins parisiens comme Le Bon Marché (1838), Le Printemps (1865) ou le BHV (1852), les vendeurs et commerciaux doivent garder cela en tête, pour être en tête des ventes !

Créateur d’entreprise : votre COM

Lorsque l’on a l’envie de créer sa propre entreprise on peut suivre les conseils vus dans différentes formations ou donnés par des amis et relations. Il y aura un moment où les aspects de la communication nécessaire au lancement de votre projet va arriver et vous aurez le choix de tenter de faire avec le système “D” ou bien, en manager avisé, faire appel à des professionnels expérimentés.

Soyons direct : LE PRIX DE LA COM !

L’argent, le nerf de la guerre, est un moyen comme un autre pour atteindre ses objectifs. Le chef d’entreprise doit faire des choix dans ses investissements bien avant de commencer à produire de la valeur ajoutée, donc du chiffre d’affaires. Vous disposez d’un capital, d’une capacité d’investissement pour construire votre projet. Vous allez donner la priorité à ce qui vous semble être l’essentiel. Votre banquier, ainsi que de nombreuses autres personnes vont exiger un business plan où vous allez démontrer la viabilité financière de votre projet. Personne ne vous demande de vous former à la gestion de projet, ni aux finances et aux achats, ni à l’anticipation stratégique. Vous allez par conséquent demander des devis, chercher des estimations de prix et votre business plan alignera les chiffres demandés. Mais qui vous a déjà parlé de l’actif de marque comme de l’actif immobilisé ou circulant de votre bilan prévisionnel ? Probablement personne. Au mieux on vous aura dit qu’il faut déposer votre marque à l’INPI (donc un poste de dépense en plus) afin d’en être le propriétaire légal et pouvoir demander justice si d’autres tentent d’utiliser votre nom de marque.




Lexique du jargon pub

Votre graphiste, votre agence de pub ou votre directeur commercial tente de vous “en imposer” en utilisant tout au long des réunions et discussions des mots issus du jargon de la pub. Retrouvez ci-dessous quelques mots avec une rapide définition. Pour en découvrir plus, demandez-nous-en plus !

Affinité (du support) : désigne la capacité à disposer d’une audience qui fait partie de notre cible (principale ou secondaire). Plus l’affinité est forte, moins de déperditions dans l’investissement de l’achat d’espace publicitaire.

Audience d’inertie : se dit pour indiquer des plages horaires (radio ou TV) qui suivent des émissions où les résultats d’audience indiquent que les gens restent, par intérêt pour ce qui précédait. Il ne suivent pas par choix le programme, mais pas non choix (donc parfois hors-cible du programme).

Belle page : dans la réservation d’espace publicitaire presse, on parle de “belle page” pour désigner une page de droite (dans les culture de lecture de gauche à droite). C’est un emplacement préférentiel, qui peut aussi être la 3ème de couverture