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Créateur et révélateur de valeurs

17 Jan 2020 admin

Les organisations humaines, que ce soit entreprise, association, ONG, collectivité ou administration, sont toutes porteuses de valeurs. Notre mission, si vous décidez de nous la confier sera de faire le point que les valeurs actuelles (partagées, vécues, ressenties…transmises) afin d’imaginer comment les cultiver et les mettre en accord avec votre projet.

Le conseil en tant que révélateur de valeurs

La stratégie de communication repose sur la volonté de prendre en main et d’agir sur sa notoriété et son image de marque. Il s’avère que les managers ont souvent l’envie de copier des valeurs qui appartiennent à d’autres. Ces managers les perçoivent comme des modèles à suivre, utile à la construction d’une notoriété positive et véhiculant des valeurs de marque que leur entité pourra s’approprier. À cela, L’atelier cortical répond qu’il est plus souvent bénéfique de repartir d’une analyse des registres et niveaux de discours employés par l’entité considérée pour imaginer le champ des possibles des évolutions à envisager. Effectivement, dans toute entité des pépites existent et elles ne demandent qu’à être révéler à tous. Certains vous diront que cela relève du storytelling, voir de la culture de légendes au service d’une communication construite, alors que le travail de l’orpailleur est bien de trouver dans la mine, le gisement, les éléments de valeurs qui une fois traité, pourront propager la richesse de la culture interne qui se reflète à l’externe.

Les actions de communication ou le partage des valeurs

Vous avez lu et entendu déjà de nombreuses fois des informations autour de ce que l’on appelle la stratégie de marque, avec la définition d’une identité de marque (prisme…), reposant notamment sur un ensemble marketing incluant le positionnement (perçu par vos cibles, sur votre marché…). Malheureusement, tout cela est régulièrement « omis » pour privilégier les outils et actions tendances de la communication. Alors, pour remettre de l’ordre dans vos projets d’actions en communication, il ne faut plus hésiter à demander un audit qui permettra de valider ou invalider les outils envisagés et la nature des messages portés. Privilégier la cohérence, à la fois dans le choix du canal et dans les valeurs portées par le message, doit être une priorité autant lorsque l’on se trouve en phase de conquête que de renforcement de son projet.

Mais c’est quoi une valeur d’image ?

Le plus opérationnel serait que nous en discutions ensemble. Toutefois vous pouvez trouver très facilement des exemples dans les grandes marques qui sculptent les tendances sur les marchés B2C de masse. À partir de ces exemples, vous pourrez prendre du recul sur celles que vous pensez être les vôtres, et celles dont vous aimeriez que votre marque dispose dans l’absolu d’un futur.

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L’écoute dans notre ADN

3 Mai 2019 admin

Dans la stratégie, le plus important c’est de savoir entendre ce que vous ne dites pas !

Que vous soyez le dirigeant d’une TPE ou le Directeur Marketing de la filiale française d’une multinationale, il est logique d’attendre de votre consultant en communication une qualité d’écoute et de compréhension de vos objectifs. Il y a les objectifs formalisés dans votre brief et il y a ceux que vous exprimez autrement que par des mots. C’est là que la différence va se faire. Vous pouvez choisir votre agence de communication parce qu’elle a travaillé avec des concurrents de votre secteur, ou bien parce que ses bureaux sont dans un quartier qui vous plait voir même parce qu’elle vous a été recommandée par un ami d’un ami lors d’une soirée très sympathique et mémorable.
Pour autant, votre esprit et votre expérience s’associent généralement dans vos prises de décisions. La part cartésienne de votre esprit fait surgir les signaux faibles et forts quant aux risques positifs et aux atouts dangereux. La part créative en vous que vous avez su s’exprimer depuis toujours, vous a permis de saisir les belles opportunités se présentant dans des chemins encore non explorés.

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Quelques acronymes StratCom

6 Avr 2019 admin

Au détour d’un article de presse, d’une proposition commerciale faites par une agence de communication, vous lisez un acronyme. Mais au fait que se cache-t-il derrière ces quelques lettres ?

La liste ci-après n’est pas exhaustive, relève de plusieurs univers de la communication (publicitaire, digital, événementiel…) ou du marketing associé à la stratégie de communication.
Et si votre interrogation porte sur un acronyme non présent ci-dessous, ne pas hésiter à nous poser la question (cf formulaire de contact ou le livechat du site).

Θ AIDA : peut être l’un des plus anciens (daterait de la fin du XIXè siècle), cet acronyme est une solution mnémotechnique pour se souvenir de 4 phases Attention Intérêt Désir Achat. Déjà employé par les précurseurs de la distribution dans les grands magasins parisiens comme Le Bon Marché (1838), Le Printemps (1865) ou le BHV (1852), les vendeurs et commerciaux doivent garder cela en tête, pour être en tête des ventes !

Θ CNR : parfois utilisé pour vous indiquer des groupes de cibles dont il est préférable de s’abstenir de les conquérir; Client-Consommateur Non Rentable.

Θ CPC : dans la stratégie du digital le CPC exprime le Coût Par Clic. Indice de comparaison dans un projet de campagne de display par exemple.

Θ CPI : vous projetez de faire développer une appli pour gérer les relations avec vos cibles. Le CPI acronyme de Cost Per Install (Coût Par Installation) va vous permettre d’analyser la rentabilité des frais de développement et de mise à disposition de l’appli dans des simulations d’objectifs de déploiement.

Θ GRID : en marketing le GRID permet de mettre en perspective les objectifs en fonction de 4 catégories de sphères de cibles : Groupe (acheteur), Réel (utilisateur), Influence (conseiller/prescripteur), Décision (décideur). Les cibles de communication sont effectivement plus larges que les cibles de vente, et les objectifs différents en fonction du ou des rôles joués par une catégorie d’individu !

Θ GRP : dans une campagne de publicité le Gross Rating Point est un indice de la pression publicitaire face aux choix des supports et des investissements d’achats d’espaces pub. Il exprime le nombre moyen de contacts pour 100 individus de la cible visée. Le calcul est une simple multiplication GRP = (couverture en %) x (répétition moyenne) à partir bien sûr des informations d’audiences disponibles.

Θ KISS : en tout bien tout honneur, il s’agit d’un acronyme anglophone (et non d’une proposition). « Keep It Simple and Short« . Disons qu’il s’agit plus de vérifier que l’idée créative repose sur le principe d’une rédaction des textes publicitaires et marketing : faire simple et court.
Attention, dans l’univers du digital les anglophones ont une autre version pour guider la conception de l’interface utilisateur et des fonctionnalités proposées : « Keep It Simple and Stupid« .

Θ NAP : dans le digital cet acronyme est utile à la bonne compréhension du SEO local (Google/GoogleMap), car ce sont les données de coordonnées du propriétaire d’un site pour lequel Google indexe et analyse Name, Address et Phone number.

Θ PDV : dans la StratdeCom cet acronyme évoque la Part de Voix alors que dans l’action commerciale et le marketing on l’utilise pour désigner le Point de Vente.

Θ SMART : afin de garder à l’esprit les 5 qualités d’un objectif de l’action commerciale et marketing. Initialement acronyme pour les anglophones, il trouve sa version francophone dans Spécifique Mesurable Acceptable Réaliste et Temporairement délimité. C’est donc un acronyme polyglotte et qui plus est, expressif dans la langue de Shakespeare, puisque smart exprime que l’objectif est « intelligent ».

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Créativité Graphique : print ou digital ?

13 Avr 2018 admin

Les deux mon général ! On vient juste de remarquer un nouvel anniversaire. La première fois que L’atelier cortical s’est intéressé au html et à la création de site web pour ses clients, c’était en 1998.
20 ans déjà que le numérique fait partie de la culture de la communication proposé ici !

Si au début ce sont les informaticiens, ceux qui étaient en phase avec la programmation et le traitement informatique des données textes et visuelles, L’atelier cortical a cumulé l’esprit technique et scientifique pour les rapprocher de la culture créative graphique existante dans les métiers de la chaîne des Arts graphiques. Comment faire pour….. arriver à trouver la solution pour que le wysiwyg des interfaces des logiciels devienne aussi ce que l’internet allait permettre de communiquer à distance (avec un parc d’écrans monochrome, des débits circulants faibles…), comment donner la confiance aux entreprises d’aller vers ce type de supports de communication quand le pays commence à s’y intéresser.

Flash-back

En 1998 voici ce que les études statistiques nous délivrent. « Le nombre de ménages reliés au réseau en France est passé de 440 000 en 1997 à 931 000 en 1998. Quant aux entreprises connectées, leur nombre est estimé à 465 000, soit 1,4 million de machines. [source : la dernière étude IDC sur le marché de l’Internet] »
C’est en rapprochant les compétences de scientifiques et pédagogues utilisant déjà les sources d’informations que leur apportait l’internet de l’époque que progressivement les curseurs ont bougé avec de nouvelles vocations, de nouveaux métiers dans le graphisme et la créativité nécessaire pour rendre le web de plus en plus « friendly ».

C’est pourquoi aujourd’hui encore, L’atelier cortical continue son travail de pédagogie afin de limiter les jargons de l’informatique avec lesquels on nous rebat les oreilles. Votre site web est-il tendance ? Utilise-t-il les dernières fonctionnalités, le dernier langage ? Faites-vous une exploitation des informations collectées par des analyses qui pourrait servir vos projets de marketing direct ? D’ailleurs qui parle de marketing direct aujourd’hui ? Il devient se transforme avec le webmarketing et tout ce qui permet d’exploiter les mégabases de contacts. Les mouvements de consommateurs crient qu’ils se sentent agressés par les publicités (ISA ou publipostage) dans leurs boîtes aux lettres, que le papier ne devrait pas être utilisé pour cela (alors que la forêt française n’a jamais été aussi importante grâce à gestion durable menée par la filière bois et papier notamment) et pensent que les fermes de stockage de la data ou les systèmes de télécommunication sont moins énergivores et meilleurs pour la planète. Le renvoi de coupon par un courrier postal va bientôt être uniquement la pratique de quelques irréductibles qui résistent à l’usage du web.
Alors, notre vision repose sur un premier principe : toute technologie est transitoire et que depuis l’orfèvre connu par le monde occidental sous le nom de Gutenberg (soit depuis 1454) les professionnels de l’imprimerie ont appris à bien organiser leur métier. De surcroît, les arbres sont nos purificateurs à CO2 (captation du CO2, puis réalisation de la photosynthèse). De fait, ne plus exploiter les forêts revient à vouloir faire disparaitre ce qui nous sert à reconstruire l’oxygène dont nous avons besoin en tant qu’humain pour respirer. Alors nous le crions haut et fort : OUI IL FAUT INCLURE DU PRINT DANS VOTRE COMMUNICATION.

La créativité c’est quoi alors ?

La créativité c’est parfois le manque de créativité des uns qui fait les stratégies de suivisme pour être dans la tendance. Prenons le mauvais exemple dont vous avez probablement entendu parler : le « greenwashing« . C’est lorsque des marques reprennent des arguments pour se construire une bonne image face à l’environnement. Certains dénoncent toutes les actions de communication mises en place pour valoriser les aspects écologiques dans l’élaboration ou l’usage d’un produit si la marque en question n’a pas réellement inclus dans son discours corporate des valeurs cohérentes.
La créativité stratégique c’est l’aptitude spécifique mobilisée pour analyser une situation et trouver des réponses aux besoins et objectifs exprimés ou identifiés.
La créativité publicitaire c’est la capacité de conception d’un message textuel (la conception-rédaction) ou visuel (la direction artistique). Ce sont des métiers qui sont pratiqués depuis plus d’un siècle et dont l’apprentissage est aujourd’hui assez bien maitrisé.
La créativité du digital c’est une spécialisation des mises en forme adaptées aux canaux retenus du digital pour la diffusion de vos messages : la rédaction textuelle courte et sur un ton complice, les images et les vidéos qui font réagir et donne envie de partager avec ses propres contacts…. que chaque personne qui a appris à écrire ou qui a un appareil photo voir juste un téléphone portable peut affirmer savoir faire. Et parfois cela fonctionne bien ! L’important est surtout de vérifier si la popularité annoncée par certains influenceurs saura tenir aussi longuement que la capacité à maintenir une audience par les médias de masse et des journalistes qualifiés.

Aujourd’hui les marques se doivent d’être bien accompagnées autant sur leur communication digitale que via les canaux traditionnels du print et des médias.


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Dépliant ou flyer : que choisir !

14 Jan 2018 admin

Vous êtes commerçant, artisan, vous avez une activitée de service et allez participer à un salon, une rencontre professionnelle ou être présent lors d’un événement qui va rassembler 5 ou 10.000 visiteurs ?
Il faut prévoir un outil de communication imprimé qui va correspondre à votre image, porter le message prioritaire que vous souhaitez faire passer à vos cibles commerciales, disposer d’une quantité suffisante et organiser les solutions de diffusion…

Le Flyer, le feuillet, le leaflet

Derrière ces noms, la même chose : un document unique imprimé sur seule ou sur ses deux faces. Sa création relève donc de la capacité à exploiter un esprit de synthèse et du savoir hiérarchiser les infos que votre interlocuteur aura en main. Votre cible aura plus de temps pour découvrir l’ensemble du message qu’avec une simple affiche ou un spot radio. C’est pourquoi, diffusé de façon stratégique la déperdition est moindre qu’avec un média de masse (seule l’audience utile prend en main le flyer).

Le dépliant

Comme son nom l’indique, cette fois le document imprimé comporte des plis qui délimitent plusieurs pages de lecture. 4 pages avec un pli central, 6 faces avec 2 plis…. vos messages vont ici être répartis et faciliter l’argumentation. Vous l’avez compris, un dépliant vous permet de garder l’attention de la personne qui le prend en main et découvre son contenu de façon très organisé.

La brochure….

Oui, la question se pose aussi, car si les 6 ou 8 faces d’un dépliant ne sont pas suffisantes, si vous trouvez que d’augmenter le format et le nombre de plis rend difficile l’utilisation, il est temps de passer à la réalisation d’une brochure de plusieurs pages qui seront reliées, assemblées. Dans un seul document vous pourrez faire passer tous les messages que vous souhaitez car en imprimerie nous avons pris l’habitude de travailler sur des multiples de 8 pages (brochure de 16 / 24 / 32 (…) / 64 (….) pages). Suivant l’usage, la brochure devient un catalogue ou la fameuse « plaquette » qui fait pourtant référence à la plaque de marbre gravée par les Romains !

Conclusion : c’est le volume d’infos et l’usage qui guide la sélection de l’outil

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Affichez votre marque !

9 Mai 2017 admin

Support de proximité pour augmenter votre visibilité, l’affichage est un canal de communication qui prend de multiple formes. Alors pourquoi ne pas l’inclure dans votre plan de com cette année ?

Il y a déjà ce que l’on appelle les affichettes (petits formats) mais aussi tous les réseaux d’affichage (abris bus, flanc de bus, 4×3, mupi….) qui sont sur les trajets de circulation de vos cibles, de vos clients, de vos prospects. Perçue par l’œil en quelques instants votre message doit capter l’attention afin que la personne prenne le temps de découvrir l’ensemble des informations (souvent moins de 10 secondes). C’est là qu’intervient l’art de la création d’une accroche, d’un slogan, ou la direction artistique du choix de l’illustration (photo, dessin) pour captiver, attirer l’attention sélective humaine.

Faut-il tester ses maquettes créatives ?

Si les délais le permettent c’est primordial. Si votre projet de campagne compte de nombreuses faces (panneaux) vous abordez une logique de communication de masse et de fait, en évaluant l’impact sur vos cibles utiles (et non sur l’avis d’un comité décisionnel) vos investissements seront probablement plus efficients. Oui, rappelons ici que l’affichage est un média de complément. Il est formidable pour créer du trafic en point de vente, mais il a besoin d’être utilisé en complément d’un canal plus riche en nombre d’information (la radio avec un spot de 30 secondes par exemple).

Les beaux jours font sortir les cibles utiles

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Créateur d’entreprise : votre COM

8 Jan 2017 admin

Lorsque l’on a l’envie de créer sa propre entreprise on peut suivre les conseils vus dans différentes formations ou donnés par des amis et relations. Il y aura un moment où les aspects de la communication nécessaire au lancement de votre projet va arriver et vous aurez le choix de tenter de faire avec le système « D » ou bien, en manager avisé, faire appel à des professionnels expérimentés.

Soyons direct : LE PRIX DE LA COM !

L’argent, le nerf de la guerre, est un moyen comme un autre pour atteindre ses objectifs. Le chef d’entreprise doit faire des choix dans ses investissements bien avant de commencer à produire de la valeur ajoutée, donc du chiffre d’affaires. Vous disposez d’un capital, d’une capacité d’investissement pour construire votre projet. Vous allez donner la priorité à ce qui vous semble être l’essentiel. Votre banquier, ainsi que de nombreuses autres personnes vont exiger un business plan où vous allez démontrer la viabilité financière de votre projet. Personne ne vous demande de vous former à la gestion de projet, ni aux finances et aux achats, ni à l’anticipation stratégique. Vous allez par conséquent demander des devis, chercher des estimations de prix et votre business plan alignera les chiffres demandés. Mais qui vous a déjà parlé de l’actif de marque comme de l’actif immobilisé ou circulant de votre bilan prévisionnel ? Probablement personne. Au mieux on vous aura dit qu’il faut déposer votre marque à l’INPI (donc un poste de dépense en plus) afin d’en être le propriétaire légal et pouvoir demander justice si d’autres tentent d’utiliser votre nom de marque.


Vous devez voir toute votre communication comme un investissement qui apporte de la valeur à votre projet et surtout, elle va soutenir votre action commerciale et marketing. L’investissement est aussi valorisable lorsque vous vendrez votre marque ou votre entreprise. C’est d’ailleurs l’une des raisons pour laquelle certaines personnes préfèrent racheter une entreprise existante qui est déjà connue ou reconnue et qui a su construire son portefeuille de clientèle. Vous, votre idée, votre projet c’est de créer tout depuis le départ. Bravo. En calculant votre temps, vos investissements humains et financiers, sachez que le meilleur des calculs sera de faire appel à des pros de la com plutôt que de tâtonner et progresser par étape. Le risque est en demandant à un graphiste de faire le logo qui sera sur des cartes de visite, à une société de fabriquer votre enseigne (ou votre plaque extérieure) en leur donnant juste un exemplaire de la carte de visite qui finalement a été faite par le fils d’un ami qui sait utiliser un logiciel mais ne connait rien aux règles d’un bon logo…. puis finalement tout cet argent finira par n’avoir servi à rien puisque vous devrez tout refaire plus tard, quand la trésorerie de votre entreprise aura un peu plus de latitude et que vos clients vous auront dit « votre logo c’est très coloré mais on ne peut pas le lire le nom de loin » ou « votre dépliant est sur un beau papier, mais je ne trouve pas comment on fait pour vous joindre autrement que par internet« . Auriez-vous l’idée et l’envie de faire appel à un élève stagiaire pour s’occuper de la comptabilité de votre entreprise sous prétexte qu’il sait installer un logiciel de compta sur votre ordinateur ? En demandant à des professionnels vous pouvez envisager une implication progressive, avec des devis adaptés à votre contexte. Votre consultant pourra imaginer un déploiement des outils de votre communication étalé sur plusieurs mois et années, en fonction des scénarios de votre lancement et de l’évolution effective (et non prévisionnelle) de vos capacités d’investissements. N’oubliez pas, tout nouveau client est aussi un investissement pour l’avenir de l’agence de communication. Votre projet a le potentiel de devenir un succès local, régional, multirégional, national, international ! En restant fidèle à votre agence qui saura vous accompagner dans la progression, vous gagnerez l’une des choses les plus rares à notre époque : du temps et de l’efficacité = de l’argent et du budget destiné à faire progresser votre chiffre d’affaires !

Votre plan de COM de lancement

Vous l’avez compris, si notre métier c’est de vendre du conseil en communication, ce n’est pas ici le lieu pour vous délivrer nos méthodes, nous outils, nos solutions. Pourtant, si nous le faisions cela n’aurait aucune importance car, nos compétences sont dans le savoir analyser votre contexte, avoir des idées adaptées et vous proposer de choisir parmi les différentes possibilités qui s’offre à vous. Ensuite vous accompagner, c’est mettre à votre disposition les compétences techniques liées aux nombreuses technologies sur lesquelles reposent les outils et actions de communication, et justement vous aider à gérer les dépenses en communication. Défendre chaque euro investi est l’une de nos priorités. Vous pourrez certainement constater que les honoraires de conseil seront vite rentabilisés face aux dépenses désordonnées qui auraient grevé vos capacités financières sans être bien entouré.

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Célébration d’anniversaire !

16 Oct 2016 admin

Il y a dans la vie des dates qui marquent. Votre jour de naissance, le jour où vous décrochez un diplôme, la date d’une rencontre, la signature de votre premier contrat ou le premier jour d’ouverture/d’activité de votre propre business.

Le monde compte de nombreuses réussites plus ou moins rapides, des entreprises qui ont passé le cap des 100 ans d’existence mais aussi des activités qui sont perpétuées de génération en génération.

Des entreprises et des marques, remarquées !

Dans le monde de la communication il y a par exemple des moulins destinés à la fabrication du papier qui ont traversé le temps comme à Saint-Léonard-de-Noblat (87) le Moulin du Got qui démontre l’ancienneté de l’industrie papetière en Limousin. Encore plus ancien, le Moulin Richard de Bas (63) qui date lui de 1363. Entre ces deux périodes une marque que vous avez tous utilisé durant votre parcours scolaire : Canson. Fondée en 1557 par la famille de Mongolfier (vous souvenez-vous du logo de Canson ?) cette marque de papier est avant tout l’une des entreprises qui a fait évoluer en France les techniques de fabrication des parchemins vers le papier que vous connaissez aujourd’hui.

Saint-Gobain a célébré ses 350 ans en 2015, est passé d’une manufacture Royale sous Louis XIV à un acteur majeur de l’industrie de l’habitat à travers le monde. Les entreprises plus anciennes relèvent souvent de savoir-faire provenant de l’artisanat comme la fabrication de cire et d’encens (ex. Trudon, fondé en 1643 par Claude Trudon, qui d’une boutique dans Paris va se développer par notamment la création d’une manufacture en périphérie et ajouter d’autres activités de production à celle de la commercialisation) ou de la bijouterie (ex. la famille italienne Mellerio qui s’installe à Paris en 1515 pour faire le commerce d’objets précieux, et toujours active 500 ans après !) ou du textile (Jean Roze depuis 1470).

Avoir 20 ans en 2016

Être né en 1996 c’est appartenir à la génération Z selon les sociologues. Comment se trouvent les jeunes de la génération Z dans leur vie d’étudiant ou de professionnel ? Est-ce une génération insouciante, avec des jeunes qui ne pensent qu’à fêter leurs 20 ans ? Voici quelques infos qui proviennent d’une étude (sur les 18-34 ans : générations Y et Z). Il est aujourd’hui, alors que les entreprises ont bien compris les enjeux, plus difficile de trouver un stage dans le cadre de ses études supérieures. Il faut dire que le nombre d’années d’études post-bac progressant, il y a forcément plus de demandes (certaines entreprises reçoivent parfois jusqu’à 700 demandes pour un seul poste de stagiaire). L’insertion est de plus en plus difficile dans la vie active. Stages bidon, galères des petits boulots, parcours de CDD en CDD, difficile pour cette génération de croire aux grandes promesses d’épanouissement par le travail. Leur vision du monde de l’entreprise est de plus en plus critique. Les stagiaires savent que leur poste est uniquement celui de stagiaire, et qu’après leur période, un autre stagiaire viendra les remplacer. La transformation du stage en emploi est assez rare finalement.

Alors qu’elles sont les attentes des générations Y et Z de leurs employeurs ? 47 % d’entre eux demandent avant tout d’être plus attentif aux conditions de travail car 44 % veulent qu’elle leur préserve un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Un salaire qui permet de profiter de la vie au fil des jours et de pouvoir vivre des moments de détente (soirée entre amis, vacances, voyages…) est estimé être une vie normale (gagner pas moins de 2.000 euros mensuel étant l’objectif). 54 % des sondés restent optimistes. Pourtant beaucoup font le choix à 25 ans de poursuivre encore et encore leurs études. Ils n’ont pas hésité à changer plusieurs fois de filières, marqué une pause avant de reprendre une nouvelle orientation. Avec un bac+5 (en communication notamment !) aujourd’hui on peut galérer alors qu’avec un CAP on trouve un job en quelques jours. Est-ce un problème de motivation ? Le système de l’offre en formation reflète-t-il les besoins de la société ou simplement vante-t-il des métiers tendances sans coordination avec la réalité des besoins dans le marché du travail ? Filières de formation sans espoir, contrats précaires, barrières à l’entrée de la vie active pour s’établir (logements inaccessibles, filtres des banques et du financement….) certains font le choix de l’exil à l’étranger pour tenter leur chance et rendre leurs parcours différents. Les générations Y et Z savent qu’ils pourront compter principalement sur eux-mêmes… et sur leur famille !

20 ans que L’atelier cortical évolue pour mieux vous accompagner.

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Fondateur d’association : votre Com

8 Fév 2016 admin

Créer ou présider une association est un engagement humain. Vous avez à faire preuve de maitrise autour des objectifs et des activités de l’association, mobiliser vos compétences relationnelles avec les membres de votre association mais aussi dans toutes les occasions de représentation de votre association vers la sphère sociale et civile.

Depuis de nombreuses années les méthodes de gestion de la communication non-marchande se sont répandues. Au service des principales ONG, les stratégies de communication destinées à recruter de nouveaux bénévoles ou à collecter des dons pour financer les projets menés à l’international comme sur le plan local sont aujourd’hui parfois appliquées par des associations de toutes dimensions. La différence majeure avec la communication commerciale c’est que vos cibles vont adhérer ou pas à vos convictions, celles qui font que vous menez votre action aux profits de toutes les personnes concernées ou qui seront concernées un jour par la ou les causes défendues par votre structure. Peu importe le sujet, vous êtes de ceux qui agissent pour que les médias démocratisent les informations utiles à votre cause. Oui, vous le savez, plus il y aura de personnes informés, plus la société se portera mieux. Vous souhaitez que les curseurs bougent, en mieux, en bien.


Votre association a besoin d’un nom, des attributs d’une marque facile à mémoriser, de supports relationnels vers les instances que vous devez contacter et mobiliser, un site web, des comptes sur les réseaux sociaux… Tout cela peut être géré par des bénévoles. Alors pourquoi faire appel à une agence de communication ? Parce qu’il ne suffit pas de savoir manipuler les outils pour son propre compte pour savoir structurer, sculpter l’image d’une association, pour un but dont l’intérêt général est en jeu. Le sujet de la communication n’est donc pas uniquement une question de marque ou de produit. Comprendre, avoir la volonté d’accompagner, de faire également évoluer les opinions relatives à votre cause doit faire partie des engagements de votre agence de com. La partie des dépenses en communication de l’association se doit être raisonnable, mais le budget à consacrer est nécessaire. Être conscient que les bénévoles n’ont pas tous le même engagement que vous, en tant que fondateur ou dirigeant de l’association, vous évitera de nombreuses déconvenues. Trop souvent les collaborations bénévoles ponctuelles seront de courte durée et vous devrez ensuite poursuivre l’action en trouvant des solutions ailleurs, avec d’autres. Pour autant une agence de com ayant l’expérience du non-marchand saura mobiliser et motiver votre équipe de com interne.

Et si nous en parlions autour d’un café, d’un thé ?

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