Category: Corporate

Créativité Graphique : print ou digital ?

13 Avr 2018 admin

Les deux mon général ! On vient juste de remarquer un nouvel anniversaire. La première fois que L’atelier cortical s’est intéressé au html et à la création de site web pour ses clients, c’était en 1998.
20 ans déjà que le numérique fait partie de la culture de la communication proposé ici !

Si au début ce sont les informaticiens, ceux qui étaient en phase avec la programmation et le traitement informatique des données textes et visuelles, L’atelier cortical a cumulé l’esprit technique et scientifique pour les rapprocher de la culture créative graphique existante dans les métiers de la chaîne des Arts graphiques. Comment faire pour….. arriver à trouver la solution pour que le wysiwyg des interfaces des logiciels devienne aussi ce que l’internet allait permettre de communiquer à distance (avec un parc d’écrans monochrome, des débits circulants faibles…), comment donner la confiance aux entreprises d’aller vers ce type de supports de communication quand le pays commence à s’y intéresser.

Flash-back

En 1998 voici ce que les études statistiques nous délivrent. “Le nombre de ménages reliés au réseau en France est passé de 440 000 en 1997 à 931 000 en 1998. Quant aux entreprises connectées, leur nombre est estimé à 465 000, soit 1,4 million de machines. [source : la dernière étude IDC sur le marché de l’Internet]”
C’est en rapprochant les compétences de scientifiques et pédagogues utilisant déjà les sources d’informations que leur apportait l’internet de l’époque que progressivement les curseurs ont bougé avec de nouvelles vocations, de nouveaux métiers dans le graphisme et la créativité nécessaire pour rendre le web de plus en plus “friendly”.

C’est pourquoi aujourd’hui encore, L’atelier cortical continue son travail de pédagogie afin de limiter les jargons de l’informatique avec lesquels on nous rebat les oreilles. Votre site web est-il tendance ? Utilise-t-il les dernières fonctionnalités, le dernier langage ? Faites-vous une exploitation des informations collectées par des analyses qui pourrait servir vos projets de marketing direct ? D’ailleurs qui parle de marketing direct aujourd’hui ? Il devient se transforme avec le webmarketing et tout ce qui permet d’exploiter les mégabases de contacts. Les mouvements de consommateurs crient qu’ils se sentent agressés par les publicités (ISA ou publipostage) dans leurs boîtes aux lettres, que le papier ne devrait pas être utilisé pour cela (alors que la forêt française n’a jamais été aussi importante grâce à gestion durable menée par la filière bois et papier notamment) et pensent que les fermes de stockage de la data ou les systèmes de télécommunication sont moins énergivores et meilleurs pour la planète. Le renvoi de coupon par un courrier postal va bientôt être uniquement la pratique de quelques irréductibles qui résistent à l’usage du web.
Alors, notre vision repose sur un premier principe : toute technologie est transitoire et que depuis l’orfèvre connu par le monde occidental sous le nom de Gutenberg (soit depuis 1454) les professionnels de l’imprimerie ont appris à bien organiser leur métier. De surcroît, les arbres sont nos purificateurs à CO2 (captation du CO2, puis réalisation de la photosynthèse). De fait, ne plus exploiter les forêts revient à vouloir faire disparaitre ce qui nous sert à reconstruire l’oxygène dont nous avons besoin en tant qu’humain pour respirer. Alors nous le crions haut et fort : OUI IL FAUT INCLURE DU PRINT DANS VOTRE COMMUNICATION.

La créativité c’est quoi alors ?

La créativité c’est parfois le manque de créativité des uns qui fait les stratégies de suivisme pour être dans la tendance. Prenons le mauvais exemple dont vous avez probablement entendu parler : le “greenwashing“. C’est lorsque des marques reprennent des arguments pour se construire une bonne image face à l’environnement. Certains dénoncent toutes les actions de communication mises en place pour valoriser les aspects écologiques dans l’élaboration ou l’usage d’un produit si la marque en question n’a pas réellement inclus dans son discours corporate des valeurs cohérentes.
La créativité stratégique c’est l’aptitude spécifique mobilisée pour analyser une situation et trouver des réponses aux besoins et objectifs exprimés ou identifiés.
La créativité publicitaire c’est la capacité de conception d’un message textuel (la conception-rédaction) ou visuel (la direction artistique). Ce sont des métiers qui sont pratiqués depuis plus d’un siècle et dont l’apprentissage est aujourd’hui assez bien maitrisé.
La créativité du digital c’est une spécialisation des mises en forme adaptées aux canaux retenus du digital pour la diffusion de vos messages : la rédaction textuelle courte et sur un ton complice, les images et les vidéos qui font réagir et donne envie de partager avec ses propres contacts…. que chaque personne qui a appris à écrire ou qui a un appareil photo voir juste un téléphone portable peut affirmer savoir faire. Et parfois cela fonctionne bien ! L’important est surtout de vérifier si la popularité annoncée par certains influenceurs saura tenir aussi longuement que la capacité à maintenir une audience par les médias de masse et des journalistes qualifiés.

Aujourd’hui les marques se doivent d’être bien accompagnées autant sur leur communication digitale que via les canaux traditionnels du print et des médias.


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Célébration d’anniversaire !

16 Oct 2016 admin

Il y a dans la vie des dates qui marquent. Votre jour de naissance, le jour où vous décrochez un diplôme, la date d’une rencontre, la signature de votre premier contrat ou le premier jour d’ouverture/d’activité de votre propre business.

Le monde compte de nombreuses réussites plus ou moins rapides, des entreprises qui ont passé le cap des 100 ans d’existence mais aussi des activités qui sont perpétuées de génération en génération.

Des entreprises et des marques, remarquées !

Dans le monde de la communication il y a par exemple des moulins destinés à la fabrication du papier qui ont traversé le temps comme à Saint-Léonard-de-Noblat (87) le Moulin du Got qui démontre l’ancienneté de l’industrie papetière en Limousin. Encore plus ancien, le Moulin Richard de Bas (63) qui date lui de 1363. Entre ces deux périodes une marque que vous avez tous utilisé durant votre parcours scolaire : Canson. Fondée en 1557 par la famille de Mongolfier (vous souvenez-vous du logo de Canson ?) cette marque de papier est avant tout l’une des entreprises qui a fait évoluer en France les techniques de fabrication des parchemins vers le papier que vous connaissez aujourd’hui.

Saint-Gobain a célébré ses 350 ans en 2015, est passé d’une manufacture Royale sous Louis XIV à un acteur majeur de l’industrie de l’habitat à travers le monde. Les entreprises plus anciennes relèvent souvent de savoir-faire provenant de l’artisanat comme la fabrication de cire et d’encens (ex. Trudon, fondé en 1643 par Claude Trudon, qui d’une boutique dans Paris va se développer par notamment la création d’une manufacture en périphérie et ajouter d’autres activités de production à celle de la commercialisation) ou de la bijouterie (ex. la famille italienne Mellerio qui s’installe à Paris en 1515 pour faire le commerce d’objets précieux, et toujours active 500 ans après !) ou du textile (Jean Roze depuis 1470).

Avoir 20 ans en 2016

Être né en 1996 c’est appartenir à la génération Z selon les sociologues. Comment se trouvent les jeunes de la génération Z dans leur vie d’étudiant ou de professionnel ? Est-ce une génération insouciante, avec des jeunes qui ne pensent qu’à fêter leurs 20 ans ? Voici quelques infos qui proviennent d’une étude (sur les 18-34 ans : générations Y et Z). Il est aujourd’hui, alors que les entreprises ont bien compris les enjeux, plus difficile de trouver un stage dans le cadre de ses études supérieures. Il faut dire que le nombre d’années d’études post-bac progressant, il y a forcément plus de demandes (certaines entreprises reçoivent parfois jusqu’à 700 demandes pour un seul poste de stagiaire). L’insertion est de plus en plus difficile dans la vie active. Stages bidon, galères des petits boulots, parcours de CDD en CDD, difficile pour cette génération de croire aux grandes promesses d’épanouissement par le travail. Leur vision du monde de l’entreprise est de plus en plus critique. Les stagiaires savent que leur poste est uniquement celui de stagiaire, et qu’après leur période, un autre stagiaire viendra les remplacer. La transformation du stage en emploi est assez rare finalement.

Alors qu’elles sont les attentes des générations Y et Z de leurs employeurs ? 47 % d’entre eux demandent avant tout d’être plus attentif aux conditions de travail car 44 % veulent qu’elle leur préserve un bon équilibre entre vie professionnelle et vie privée. Un salaire qui permet de profiter de la vie au fil des jours et de pouvoir vivre des moments de détente (soirée entre amis, vacances, voyages…) est estimé être une vie normale (gagner pas moins de 2.000 euros mensuel étant l’objectif). 54 % des sondés restent optimistes. Pourtant beaucoup font le choix à 25 ans de poursuivre encore et encore leurs études. Ils n’ont pas hésité à changer plusieurs fois de filières, marqué une pause avant de reprendre une nouvelle orientation. Avec un bac+5 (en communication notamment !) aujourd’hui on peut galérer alors qu’avec un CAP on trouve un job en quelques jours. Est-ce un problème de motivation ? Le système de l’offre en formation reflète-t-il les besoins de la société ou simplement vante-t-il des métiers tendances sans coordination avec la réalité des besoins dans le marché du travail ? Filières de formation sans espoir, contrats précaires, barrières à l’entrée de la vie active pour s’établir (logements inaccessibles, filtres des banques et du financement….) certains font le choix de l’exil à l’étranger pour tenter leur chance et rendre leurs parcours différents. Les générations Y et Z savent qu’ils pourront compter principalement sur eux-mêmes… et sur leur famille !

20 ans que L’atelier cortical évolue pour mieux vous accompagner.

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Fondateur d’association : votre Com

8 Fév 2016 admin

Créer ou présider une association est un engagement humain. Vous avez à faire preuve de maitrise autour des objectifs et des activités de l’association, mobiliser vos compétences relationnelles avec les membres de votre association mais aussi dans toutes les occasions de représentation de votre association vers la sphère sociale et civile.

Depuis de nombreuses années les méthodes de gestion de la communication non-marchande se sont répandues. Au service des principales ONG, les stratégies de communication destinées à recruter de nouveaux bénévoles ou à collecter des dons pour financer les projets menés à l’international comme sur le plan local sont aujourd’hui parfois appliquées par des associations de toutes dimensions. La différence majeure avec la communication commerciale c’est que vos cibles vont adhérer ou pas à vos convictions, celles qui font que vous menez votre action aux profits de toutes les personnes concernées ou qui seront concernées un jour par la ou les causes défendues par votre structure. Peu importe le sujet, vous êtes de ceux qui agissent pour que les médias démocratisent les informations utiles à votre cause. Oui, vous le savez, plus il y aura de personnes informés, plus la société se portera mieux. Vous souhaitez que les curseurs bougent, en mieux, en bien.


Votre association a besoin d’un nom, des attributs d’une marque facile à mémoriser, de supports relationnels vers les instances que vous devez contacter et mobiliser, un site web, des comptes sur les réseaux sociaux… Tout cela peut être géré par des bénévoles. Alors pourquoi faire appel à une agence de communication ? Parce qu’il ne suffit pas de savoir manipuler les outils pour son propre compte pour savoir structurer, sculpter l’image d’une association, pour un but dont l’intérêt général est en jeu. Le sujet de la communication n’est donc pas uniquement une question de marque ou de produit. Comprendre, avoir la volonté d’accompagner, de faire également évoluer les opinions relatives à votre cause doit faire partie des engagements de votre agence de com. La partie des dépenses en communication de l’association se doit être raisonnable, mais le budget à consacrer est nécessaire. Être conscient que les bénévoles n’ont pas tous le même engagement que vous, en tant que fondateur ou dirigeant de l’association, vous évitera de nombreuses déconvenues. Trop souvent les collaborations bénévoles ponctuelles seront de courte durée et vous devrez ensuite poursuivre l’action en trouvant des solutions ailleurs, avec d’autres. Pour autant une agence de com ayant l’expérience du non-marchand saura mobiliser et motiver votre équipe de com interne.

Et si nous en parlions autour d’un café, d’un thé ?

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Lexique du jargon pub

3 Nov 2015 admin

Votre graphiste, votre agence de pub ou votre directeur commercial tente de vous “en imposer” en utilisant tout au long des réunions et discussions des mots issus du jargon de la pub. Retrouvez ci-dessous quelques mots avec une rapide définition. Pour en découvrir plus, demandez-nous-en plus !

Affinité (du support) : désigne la capacité à disposer d’une audience qui fait partie de notre cible (principale ou secondaire). Plus l’affinité est forte, moins de déperditions dans l’investissement de l’achat d’espace publicitaire.

Audience d’inertie : se dit pour indiquer des plages horaires (radio ou TV) qui suivent des émissions où les résultats d’audience indiquent que les gens restent, par intérêt pour ce qui précédait. Il ne suivent pas par choix le programme, mais pas non choix (donc parfois hors-cible du programme).

Belle page : dans la réservation d’espace publicitaire presse, on parle de “belle page” pour désigner une page de droite (dans les culture de lecture de gauche à droite). C’est un emplacement préférentiel, qui peut aussi être la 3ème de couverture

Body copy : c’est la partie du texte qui décrit les caractéristiques d’une offre dans un message publicitaire. On le différencie des titres, slogans, signature.

Campagne parapluie : la stratégie va inclure plusieurs campagnes avec des “adaptations” pour certaines sphères de cible (profils complémentaires).

Chef de Pub (du support) : c’est le commercial du support média avec qui l’agence est en contact pour préparer la réservation.

Chef de Pub (en agence) : c’est le responsable, l’interface avec vous, le client et les compétences internes dans l’agence mobilisées pour vous (planeur stratégique, créatifs, médiaplaneur….)

Collective : utilisé pour désigner une campagne publicitaire au bénéfice d’un groupement professionnel, une fédération. Il s’agit de valoriser un secteur, un type de produit ou de service, mais pas une marque appartenant à une société.

Compétition : mise en concurrence entre plusieurs agences de publicité avec le même brief. L’appel d’offres peut être en plusieurs étapes filtres pour limiter l’impact du temps passé sur le projet avant validation du contrat.

Couverture : utilisé dans le cadre d’un plan de com, pour indiquer si la stratégie des moyens mobilisés permet d’atteindre tout ou partie des populations ciblées. Le taux de couverture est lié au niveau de connaissance des informations quantitatives sur les cibles.

Détourage : action d’extrait un sujet (objet, individu) d’une photo complète pour être en mesure de l’inclure dans une autre photo

Display (pub) : le display est un terme générique utilisé dans la publicité en ligne, via internet, bref les formes de pub sur le digital pour les annonce en audio et/ou vidéo. Le terme sert à distinguer ces actions de celles qui sont uniquement visuelles (bannière, pavé, habillage…) ou des liens commerciaux (le SEA : Search Engine Advertising).

Ferré : alignement du texte en fer à droite ou en fer à gauche ; expression qui persiste depuis la composition à chaud de Gutenberg. Le typographe devait alors placer un fer d’alignement des lettres mobiles en plomb pour les assembler.

Gosht : c’est une création, un projet de campagne, qui est faite pour tenter de remporter une compétition et qui ne sera pas exploitée en suite

Graisser : par exemple, à propos de la typographie d’un titre, choix de l’épaisseur (regular, semi-bold, bold, extra-bold…) plus fort que celui de la maquette présentée.

Immersive : se dit d’une publicité où la cible “baigne dans l’univers de la marque”. En pratique cela se vit plus en événementiel que dans la publicité média. Des potentiels existent avec les casques de réalité virtuelle.

In-feed : se dit d’une annonce qui se trouve placée et diffusée dans le fil d’actualité, le flux d’un réseau social (Facebook, Instagram, Twitter…)

In-game : comme son nom l’indique c’est du placement pub dans les jeux vidéos

Landing-page : la page de renvoi vers un site internet depuis une annonce publicitaire du display par exemple ou du SEA. C’est là que l’on va tenter de transformer le contact en prospect ou client !

Ours : les mentions obligatoire dans une publication média. Le terme vient plus particulièrement de la presse écrite (différents emplacements dans les quotidiens portent des noms en référence au monde animal)

Packshot : la photo du produit placée souvent en verrouillage de lecture de l’annonce publicitaire

PDF : format de fichier informatique (Portable Document Format) mis au point par Adobe pour garantir une compatibilité de lecture et d’impression suivants différentes normes

Publicité : les agences de communication utilisent ce mot uniquement pour désigner les messages véhiculés par les médias de masse

Plein papier : équivalent au “bord perdu” dans les documents d’impression, une annonce presse “plein papier” sera imprimée sur toute la surface de la page. Pas de marge autour.

PLV/ILV : publicité/information sur le lieu de vente. Ce sont les dispositifs spécifiques et temporaires que l’on peut gérer dans les points de ventes, les circuits de distribution.

Prépresse : désigne toutes les opérations conceptuelles et techniques nécessaires avant la finalisation d’une annonce, d’un document imprimé.

Quadri : en opposition au monochrome, la “quadri” (CMJN) est le principal procédé de reproduction des couleurs, par exemple dans le cadre d’une affiche ou d’une annonce presse

Référencement : regroupe différentes notions liées à la reconnaissance d’un site internet ou simplement d’une page web par les moteurs de recherches, les annuaires et les autres sites.

Shazamable : annonce qui sera reconnue par l’application Shazam et pourra faire un renvoi vers un espace digital dédiée à votre marque, votre produit

Signe : le nombre de signes dans la body copy d’une annonce presse désigne le nombre de caractères (lettre, chiffre, ponctuation, symbole) employés sur une ligne, un paragraphe, une page.

Teasing : se dit d’une campagne publicitaire en plusieurs étapes. La première délivre un message pour capter l’attention et stimuler la curiosité. Les suivantes vont servir la phase de révélation (le produit, la marque, l’avantage ou l’atout nouveau….) qui répondra à la curiosité naturelle des cibles exposées à tous les messages de la campagne. Néologisme officiel depuis 2010 : aguichage

Visiteur unique : dans les statistique d’audience d’un site internet, dénombre la quantité de personnes qui se sont connectée sur une période définit (pas de cumul des multiples accès par le même “device”)

Zone tranquille : gestion des espaces aux bords d’une annonce presse. Cet espace ne doit contenir aucun texte qui pourrait disparaitre en raison de la coupe au format du support presse

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